[ Kazuma Kurosawa ] I'm on fire baby ♪

NOM : Kurosawa PRÉNOM(S) : Kazuma. DATE & LIEU DE NAISSANCE : 14 septembre 1988 à Kyoto ÂGE : 28. NATIONALITÉ : Japonaise. STATUT CIVIL : Célibatant. MÉTIER AVANT L’ÉPIDÉMIE : Artiste & tatoueur ARCHETYPE : Anarchy for the U.K MUTATION : Oui, torche humaine AVATAR : Miyavi. CRÉDIT : Google

CARACTÈRE : Avenant, indépendant, talentueux, aguicheur, modeste, manipulateur... Bien trop futé, dévergondé, borné, un brin narcissique peut être, exhalté, impulsif. COMPÉTENCES : Sportif et nerveux, je me débrouille plutôt bien dans les décombres et dans les courses poursuites (contre les zombies ou les humains). Je me débrouille en combat de rue, ça a été mon terrain de prédilection pendant un temps. Je sais manier le sabre, le couteau, la batte de baseball et la barre de fer pour les mêmes raisons. AUTRE INFORMATIONS : Je suis un artiste et la rue est ma toile, quand ce n'est pas le corps de mes amant(e)s ♥  

Quel est son ressenti face aux zombies ? En a-t-il déjà tué ? Bien sur qu'il en a tué, pourquoi risquer quoi que ce soit pour des cadavres qui ne ressentent tout bonnement rien, de toute façon. La plupart sont à des kilomètres de tout ce qui a pu être humain, pas que ce soit sensé aider, mais qu'on ne lui parle pas de remède ou de vaccin pour tout régler. C'est sa vie d'abord. Et un peu de sport ne fait pas de mal, sans aller jusqu'au mini golf zombie volontairement, il n'ira pas se priver s'il se trouve face à un zombie sur son chemin.

A-t-il des projets pour le futur plus ou moins proche ? Des plans, il n'en faisait déjà pas quand le monde ressemblait encore à quelque chose alors maintenant... Survivre, créer, vivre au jour le jour ça lui suffit amplement. Et parcourir le Monde qui reste tant qu'il respire encore. Il n'est pas fait pour rester avec un groupe bien longtemps mais il partage parfois la route d'une personne, tant qu'ils s'apportent mutuellement. Sinon il aime être libre d'aller là où le vent le porte, tourné vers l'avenir !

En quoi consiste votre mutation ? Quel est votre pouvoir ? Il est sans doute venu du fin fond de ses tripes celui là. Torche humaine. Il savait qu'il était chaud comme la braise mais de là à en devenir l'incandescence même ! Sa température corporelle augmente jusqu'à ce qu'il s'embrase tout entier. Il lui faut de l'air pour ça, comme n'importe quelle allumette ( pas besoin de le frotter, quoi que, faut pas se priver dirait-il ) Ca lui prenait sans qu'il puisse le contrôler au départ, maintenant il arriver à le canaliser dans certaines parties de son corps, les bras/mains plus facilement. Parfois il parvient à projeter les flammes, mais il faut vraiment qu'il ait bouffé du Lion petit déjeuner le matin. Toute utilisation poussée le laisse sans jus pendant un moment, de la petite fatigue à l'inconscience, le plus généralement il est juste totalement vidé et ressent un grand froid les heures suivantes, il a besoin de se reposer avant de repartir s'il a trop poussé.

Quel âge as-tu ? 31 ! Sous quel fuseau horaire tu vis ? La franciaaaaa Comment avez-vous connu le forum ? Par Kalinours d'amour l'admin ♥ Des suggestions ? Plus de blonds de l'action en ville, peut être ? On verra aux events ! Un p'tit mot pour la route ? Allumeeeeeeeeeeeerrr le feuuuuu ♪ (de rien)

Sur mon corps, sur ma toile, sur les autres. J'ai envie de peindre la ville entière. Elle est mon terrain de jeu. Je me fiche pas mal que ça ne convienne pas à tout le monde, ce n'est pas le but de l'Art. Il n'a pas de but. Il n'est qu'expression. Et puis, je suis venu ici pour une expo, pour m'imprégner de la vie Londonienne, je ne vois aucune raison qui me pousserait à m'occuper des affaires des autres, surtout que ce n'est pas mieux ici qu'ailleurs. On ne peut plus aider la capitale, comme on ne peut plus aider cette ville où j'ai atterri pour visiter son bagage historique. Ou le Monde. Qu'il se sauve tout seul. On peut voir ça comme de l'égoïsme, je n'ai reçu d'aide de la part de personne pour en arriver ou je suis, je ne me sens pas l'obligation morale de rendre la pareilles donc. Et puis ma générosité passe par le partage. Tu me donnes quelque chose, je te donnerai ce que tu veux en échange. Sauf ta vie d'avant. Même si le monde est devenu ce qu'il devait devenir, les gens pleurent leur normalité. Quel ennui. Je crois que je ne comprendrai jamais vraiment ce que le terme vie normale signifie chez les gens et pourquoi ils le recherchent tellement. Il faut dire aussi que peut être que je n'ai pas tellement aimé commencer dans la normalité, et que je n'ai fait que la fuir depuis.

A part se montrer trop strict, sans n'avoir jamais fait qu'élever la main ou la voix sur moi, on ne peut pas dire que j'ai eu le pire des parents ou que mon enfance ait été "pire" que ce que j'aie vécu par la suite. On apprend vite à relativiser en grandissant. Je ne suis pas sur qu'il m'aimait, ni lui ni ma mère, quoi que ça importe maintenant ils voulaient que je devienne l'image respectable qu'ils essayaient tellement d'imprimer sur leurs visages et sur leurs vies parfaites. Intégrer la société, y faire son temps, y être reconnu... Ca ne m'a jamais parlé. Ca voulait dire se taire alors que moi je voulais m'exprimer.

Avec ma belle gueule et mes multiples talents d'acteur, de musicien, d'artiste de rue, j'étais fait pour autre chose. Pour vivre de mon art, et survivre tout court j'ai développé un don pour mieux me frayer un chemin dans le cœur et les draps des gens, parce que ça m'intéressait beaucoup plus que les ronds de jambes et les dos courbés. Et que c'était aussi beaucoup plus enrichissant. Autant dire que le métiers d'Host m'était tout désigné. Les clients ne pouvaient plus se passer de moi... je les comprenais si bien et savais comment  soulager. Facile quand on sait que c'est la société actuelle le maux qui les empêchait de vivre... Parfois, je me suis attaché. Parfois leurs histoires me rendaient triste.

Je veux dire, ok je ne suis pas le premier gamin de qui fait Host à la capitale pour payer son loyer et faire connaître sa belle gueule, et c'est pas vraiment beau à voir l'envers du décors d'un gigolo . D'abord, c'est le foie qui prend, avec les quantités d'alcool que j'ai ingurgité j'aurais pu prendre feu à chaque fois que j'allumais une clope. Mais c'était la condition, il fallait toujours accompagner le client. Et ça payait pour le studio et mes toiles. Ensuite, il y avait la facilité avec laquelle on pouvait gagner plus d'argent en servant d'hôte privé. J'ai jamais vraiment regretté. Parce que comparé à eux, j'étais libre. Dans une cage de mafia corrompue, mais mon art me rendait libre. Et mon corps était ma toile, mon art. La drogue parfois aussi. Je suis clean maintenant, mes œuvres ont rencontré un public en dehors des tatoués que je fréquentais et d'autres ont reconnu mon talent. Que voulez vous, je les comprends.

Peut être que le seul que j'ai blessé, mon premier amour blond comme les blés, je finirai toujours par le regretter. Mais du reste, la vie ne fait que m'apporter tous les jours. Et tous les jours, je crée.