Elias Acciaro

NOM : Acciaro PRÉNOM(S) : Elias DATE & LIEU DE NAISSANCE : 19 septembre 1989 à Milan ÂGE : 27 ans NATIONALITÉ : Italienne STATUT CIVIL : Célibataire MÉTIER AVANT L’ÉPIDÉMIE : Technicien dans un théâtre londonien ARCHETYPE : Together, we are stronger MUTATION : Oui, technopathie. AVATAR : Jackson Rathbone CRÉDIT : Tinker (vava), Blondie, Tumblr

CARACTÈRE : Je suis avant tout altruiste. C'est pas forcément le plus simple à vivre par les temps qui courent mais que voulez-vous, on ne se refait pas. Mon histoire personnelle m’a appris à me soucier bien plus des autres que de moi-même et forcément, ça se ressent sur l’homme que je suis devenu. Le pire, c'est que je suis aussi utopiste. J'ai besoin de croire que malgré tout ce qu'on vit en ce moment, des jours meilleurs nous attendent. Je ne sais pas si ça passera par un vaccin de guérison ou un apprentissage de tous à vivre ensemble mais on y arrivera, ça ne fait aucun doute pour moi. Mais n'allez pas croire que je sois naïf pour autant, j'ai la tête sur les épaules, ça n'empêche pas de rêver d'un monde moins... chaotique, dirons-nous. On peut dire aussi que je suis déterminé. Quand j'ai une idée en tête, difficile de me la faire oublier. Je suis aussi relativement sociable dans la mesure où je n’ai aucune difficulté à discuter avec des inconnus. M’attacher, c’est une autre histoire mais, pour autant, j’ai le contact facile donc oui, sociable est un terme qui me qualifie bien. Je suis aussi lunatique, ça fait rêver, hein ? J’ai beau essayer de me contrôler, je n’y arrive pas toujours. Cette instabilité vient de mon adolescence à être toujours sur la brèche et je dois avouer que mes fréquents maux de tête n’aident pas. Et puis, je suis émotionnellement fragile. Même si je comprends mieux maintenant les raisons des drames qui ont frappé mon adolescence, ce n'est pas pour autant que les blessures ont cicatrisé, loin de là. Je reste convaincu que je n'étais pas assez bien pour rendre mes proches heureux et que c'est pour ça que j'ai fini tout seul. Depuis,
je me cache derrière une fausse assurance qui peut être perçue comme de l'autosuffisance. Ce n’est pas le cas mais c’est ma façon de me protéger et de ne pas dévoiler mes faiblesses. Si je discute facilement avec les gens, je m'attache pas pour autant. Être pote pour passer des soirées de temps en temps, ça me va. Filer un coup de main, c’est aussi dans mes cordes mais m’autoriser à avoir des sentiments, je me l’interdis. Et pour parfaire ce magnifique tableau, sachez que je suis rancunier. J’aide sans compter et sans rien demander en retour, si ce n’est de ne pas me faire poignarder dans le dos. Si tel est le cas, il sera difficile pour moi d’accorder une seconde chance. COMPÉTENCES : Connaissance des armes à feu, boxe, endurant, facilité avec la technologie grâce à son don, crochetage de serrure.AUTRE INFORMATIONS : J'ai plusieurs tatouages dont deux sont particulièrement importants à mes yeux : le nom de mes deux frères écrits sur mon poignet droit. Je suis un fumeur invétéré et pour le moment, j'ai pas encore trop fait face à la pénurie mais quand ça va venir, aïe ! Je suis un ancien alcoolique (et je m'en vante pas, bien évidemment) et je m'accroche pour ne pas sombrer alors que ce serait si simple. Je joue de la guitare à mes heures perdues, ça me détend. J'ai un passé de délinquant et, contre toute attente, ça m'est bien utile par les temps qui courent. Pour le reste, faudra que vous fassiez ma connaissance pour en savoir plus, bande de petits curieux !

Quel est son ressenti face aux zombies ? En a-t-il déjà tué ? Quand c'est nécessaire pour sa propre survie ou celle d'un autre survivant, Elias n'hésite pas un seul instant à tuer un zombie donc oui, ça lui est déjà arrivé. Pour autant, il n'en retire aucune satisfaction, bien au contraire. Pour lui, les zombies sont des gens malades, contaminés par un virus qui peut sûrement être contré. Il garde espoir qu'un jour on pourra les guérir alors, en attendant, il préfère les éviter que d'être confronté à la décision de devoir leur ôter la vie.

A-t-il des projets pour le futur plus ou moins proche ? Le principal soucis d'Elias, c'est de trouver un abri à tous les survivants qu'il croise. Ben oui, il est pas altruiste et utopiste pour rien, hein ! Du coup, il essaie de maîtriser au mieux son don pour se rendre utile auprès des autres et s'est mis en tête d'essayer d'améliorer le confort du camp où il crèche. Vaste projet surtout avec les réguliers maux de tête qu'il se coltine quand il utilise son don. Peu importe, le bien des autres avant le sien reste sa devise.

En quoi consiste votre mutation ? Quel est votre pouvoir ? Les machines sont mes amies ! Si, si, je vous assure. Disons que j’arrive à les faire marcher même quand elles sont en panne ou bien encore débranchées. Enfin, j'y arriverai un jour en tout cas. Pour le moment, ça dépend de la complexité de la machine. Un truc simple du genre une radio, ça, ça va. Mais ne me demandez pas de faire rouler une voiture sans carburant. J'arrive, quand je me concentre vraiment, à la faire démarrer mais ça me demande trop d'énergie. Du coup, je tombe dans les pommes et mon don cesse. Je suis certain qu'avec plus d'endurance, j'y arriverai. Faut juste être patient et on en reparle dans plusieurs mois, d'acc' ?

Evolution du don :1ère amélioration :  Améliorer la maîtrise de sa mutation : puissance (manipulation de "machines" un peu plus complexe, type moteur de voitures.)

Quel âge as-tu ? 29 ans Sous quel fuseau horaire tu vis ? France métropolitaine Comment avez-vous connu le forum ? J'suis un DC ^^ Des suggestions ? Plus de chocolats ? Un p'tit mot pour la route ? Câlinnnnnnn

Malgré le départ de sa mère quand il n'était encore qu'un tout petit garçon, l'enfance d'Elias a été relativement heureuse, grâce à ses deux grands frères. Alors que leur père se renfermait dans son chagrin et sa solitude, lui suivait partout Ricardo et Ulysse, s'inventant des jeux d'un rien. Pour le petit garçon, tout n'était qu'aventure et il laissait libre court à son imagination en riant. Voilà ce qu'il était, un petit bonhomme bien dans ses baskets, insouciant , joyeux. De l'Italie, il faut être honnête, il ne se souvient de rien. Il n'avait que deux ans quand ils ont quitté les lieux pour l'Angleterre et c'est ce qui explique que lui n'a aucun accent quand il parle anglais. Pas d'accent non plus en italien qu'il a surtout appris avec ses frères. A l'école, il n'était pas u élève modèle mais il n'avait pas particulièrement de difficultés non plus. Rien de notable, en somme, jusqu'à ses 12 ans.  C'est cette année-là qu'il perdit son insouciance alors que sa vie virait au cauchemar. Son frère adoré, son aîné sur qui il comptait tant, mit fin à ses jours, sans que rien n'est pu le laisser imaginer. Ou alors, peut-être était-ce parce qu'Elias n'avait pas été assez à l'écoute ? C'est de cette période que naquirent ses premiers doutes, son instabilité émotionnelle. Les jours qui suivirent, les disputes ne cessaient d'éclater entre son père et Ulysse et le jeune adolescent ne comprenait. Pour lui, il n'y avait qu'une seule réalité : ils venaient d'enterrer Ricardo et, au lieu de se soutenir tous, ils se déchiraient. Pire, quelques jours plus tard, Ulysse déserta et même s'il avait laissé un mot derrière lui, Elias nageait dans une profonde nébuleuse. Qu'est-ce qu'il cherchait ? Rick était mort, y'avait rien à comprendre, rien qui pouvait justifier un tel drame. L'adolescent, jusque là calme, tomba dans la délinquance, préférant sécher les cours pour trainer dans les rues avec sa bande de potes, commettant des petits délits pour se fournir en alcool ou en clopes. Tout pour appeler à l'aide, au final, mais son père s'était bien trop renfermé sur lui-même pour voir quoique ce soit à part un gamin qui faisait connerie sur connerie. Les engueulades étaient fréquentes et elles n'étaient plus que les uniques contacts entre eux. A 17 ans, Elias, fraichement émancipé, dût prendre la décision de faire interner son père qui se laissait dépérir. C'est à peu près à cette période qu'il cessa ses bêtises, cherchant à redonner un peu de joie à son paternel, tout comme il essaya de retrouver son frère, sans succès pour les deux. Il termina tant bien que mal ses études et se dégotta un boulot de technicien dans un théâtre de Londres. Ce n'était pas le job de rêve mais ça avait au moins l'avantage de lui donner de l'autonomie. Et surtout, ça lui donnait du temps pour aller voir son père aussi souvent que possible, jusqu'à ce qu'il s'éteigne alors qu'Elias avait tout juste 21 ans. Toute sa frustration, sa peine, il la mit alors dans la bouteille. S'il avait eu l'habitude de boire un peu plus que de raison quand il était plus jeune, ce n'était rien en comparaison. Très vite, une bouteille l'accompagnait presque partout et c'est quand il faillit perdre son travail qu'il comprit qu'il ne pouvait pas continuer à se détruire ainsi. Un de ses collègues lui conseilla la boxe et il mit toute son énergie dans l'entraînement, passant le reste de son temps libre aux réunions des A.A. Ça fait maintenant presque 7 ans qu'il n'a plus touché une goutte d'alcool et, malgré l'apocalypse, pour le moment, il tient le coup. Difficilement. Il a été contaminé parmi les premiers, son logement n'étant pas très loin du laboratoire qui a explosé dans la capitale anglaise. Trois jours de fièvre intenses lui ont laissé pour cadeau un don étrange qu'il essaie d'apprivoiser comme il peut. Et s'il a décidé récemment de bouger pour se rendre où ses pas le mèneraient, il a fini par poser ses "valises" à Canterbury où il a trouvé une sorte de camps de réfugiés.